• Principes des addictions psychiatriques (ne jamais stopper brutalement)

    Principes des addictions psychiatriques
    ...11. Les médecins qui prescrivent des interventions biopsychiatriques ont en général une estimation irréaliste des risques et des bénéfices du traitement.
    Les interventions biopsychiatriques sont fondées sur le principe du “désemparement et déni iatrogènes” (iatrogenic helplessness and denial, IHAD). Il se réfère au mécanisme qui fait que le patient perd, par la façon dont le traitement est appliqué et par l’effet chimique ou neurologique du traitement, toute capacité d’évaluation de ses réactions, du handicap créé par le traitement, et des assertions du médecin. « Le psychiatre biologique utilise des techniques connues d’autorité et impose des traitements destructeurs du SNC pour obtenir un désarroi et une dépendance accrus du patient. »
    La IHAD implique le déni de la part et du médecin et de la part du patient des dommages créés par le traitement, tout autant que des réels troubles psychologiques et contextuels présents. La IHAD rend compte de la fréquence avec laquelle les traitements par techniques destructrices du cerveau sont utilisés en psychiatrie: électrochocs, psychochirurgie, et médication toxique. Le fait que le traitement détruit des fonctions cérébrales amène la soumission du patient par le biais de la perte de fonctions essentielles telles que la vitalité, la volonté et le raisonnement. Le déni vise non seulement la destruction des fonctions essentielles chez le patient, mais aussi le fait que ses problèmes psychologiques continuent. Ce déni est assorti de confabulation [procédé commun à toutes les addictions avec produit. [le déni est un procédé de défense archaïque (stade oral-anal)]].
    Traitement biopsychiatrique = création d’un dommage cérébral plus ou moins permanent et irréversible

    Les médicaments utilisés en psychiatrie nous font plus de mal que de bien
    Les symptômes de sevrage sont souvent diagnostiquée à tort comme un retour de la maladie ou le début d'une nouvelle, pour lesquelles les médicaments sont alors prescrits. Au fil du temps, cela conduit à une augmentation du nombre d'utilisateurs de toxicomanes, à long terme

    Mythe 1: Votre maladie est causée par un déséquilibre chimique dans le cerveau
    C'est ce qui est dit a la plupart des patiens, mais c'est complètement faux. Nous n'avons aucune idée de ce qui interaction des conditions psychosociales, les processus biochimiques, les récepteurs et des voies nerveuses qui conduisent à des troubles mentaux et les théories que les patients atteints de dépression n'ont pas la sérotonine et que les patients atteints de schizophrénie ont trop de dopamine ont longtemps été réfuté. La vérité est tout le contraire. Il n’y a pas déséquilibre chimique pour commencer, mais quand traiter la maladie mentale avec des médicaments, nous créons un déséquilibre chimique, une condition artificielle que le cerveau tente de contrer.

    "Le but du système public de santé mentale est de créer une classe énorme de malades mentaux chroniques en les forçant à prendre des médicaments inefficaces, mais extrêmement dangereux ."   

    La psychiatrie moderne rend les gens normaux fous
    DSM 5 : comment cet ouvrage induit une hyper-inflation diagnostique des troubles mentaux.

    principes de la médecine moderne
    Des effets secondaires connus sont traitées comme si elles sont de nouvelles maladies et des médicaments supplémentaires sont prescrits pour traiter les effets secondaires au lieu d’essayer de les prévenir.

    "Avec les médicaments psychotropes, les médecins créent la maladie faussement diagnotiquée"
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    « Les patients sont littéralement torturés par les médicaments qu’on leur donne »
    "Les médicaments psychiatriques sont beaucoup plus dangereux que vous ne l’avez jamais imaginé !"
    « ..20 ans de vie en moins…Les nouveaux neurolepitques, de deuxième génération, dit, atypiques, sont encore pire que les anciens »
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     "Après des années de recherche le professeur Peter Gøtzsche résume cela de la manière suivante : « Les psychotropes n’éliminent aucun déséquilibre chimique, ils les provoquent. Si on les prend plus longtemps que quelques semaines, ils causent la pathologie qu’ils devraient guérir. Avec les médicaments que nous avons employés, nous avons transformé des troubles psychiques qui auparavant n‘étaient le plus souvent que des altérations temporaires, en troubles chroniques. » "
     
     

     "Dans l'histoire de la psychiatrie il y a une très vielle habitude d'ignorer les effets néfastes des médicaments ou de les attribuer essentiellement à la maladie sous jacente et ainsi de blâmer le patient plutôt que de blâmer la drogue"

     docteur joanna Moncrieff

     

     Ils font passer les effets secondaires des médicaments ou de sevrage, pour une nouvelle maladie ou une aggravation de la maladie initiale

    " Les crimes dont les auteurs sont des malades mentaux avérés représentent entre 2 et 5 % de la totalité des crimes en France. Au minimum, 95 % des crimes sont donc dépourvus de pathologies psychiatriques. On ne peut donc pas stigmatiser les malades mentaux du fait de leurs violences, même si on ne les comprend pas. Un chiffre est d’ailleurs révélateur : 99,70 % des schizophrènes ne vont jamais tuer. C’est un peu plus que votre probabilité ou la mienne....."

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